jeudi 28 mars 2013

Cocorico, fait le taureau



" En redécouvrant ce bref article, ça m'a aussitôt fait penser à José Tomas. Je vois d'ici vos mines déconfites. Je sais, je sais... On n'a pas le droit de dire du mal de José Tomas. Ça ne se fait pas. En plus, ça ne règle le problème que d'une corrida sur deux !"

C'était dans le "Canard Enchaîné" du mercredi 23 juin 2010.
Pour voir l'image en plus grand, il faut cliquer dessus.

Au sujet de José Tomas, on peut quand même lire : 

"Ce n’est pas son corps que José Tomás laisse à l’hôtel, c’est hélas une certaine idée du toro brave. Son toreo d’épure, de cadences sublimes, a besoin qu’on le serve. L’opposition en est réduite à sa portion congrue, nous sommes aux portes du cirque, du théâtre. On parle d’un récital. C’est si loin de la plaza de toros. Là où les hommes combattent le toro."

C'est d'Olivier Decq. Et pour en savoir plus, vous pouvez cliquez là. Ici quoi !